dimanche 24 mars 2013

Adrenaline et amaigrissement

Quand on lit dans un roman que le héros éprouve "une brusque décharge d'adrénaline", cela signifie que face à un danger inattendu, ou en réponse à une émotion, il rassemble ses énergies, pour réagir le plus rapidement possible.
L'adrenaline joue dans ce cas, le rôle de starter.

Mais auriez vous imaginé que cette hormone est celle qui vous aide à maigrir ?

Qu'est-ce que l'adrenaline ?

L'adrenaline est une hormone sécrété en grande partie par la glande surrénale, dont le rôle principal est d'assurer la réponse immédiate de l'organisme aux agressions, en activant le métabolisme de l'organisme.
Elle est alors sécrété en très grande quantité.
Au repos, elle assure le fonctionnement des muscles, en leur fournissant l'énergie dont ils ont besoin, à partir des reserves de graisses stockées dans les adipocytes.

Malheureusement, si cette propriété est tres intéressante  elle est limitée en pratique par la durée de vie extrêmement courte de l'hormone, qui est détruite tres rapidement par une enzyme spécifique.

Pourquoi grossit-on ?


Dans l'organisme, les graisses sont stockées dans des cellules spécialisées, les adipocytes, cellules de réserve, dont l'accumulation constitue les bourrelets disgracieux, de la taille chez l'homme, ou des cuisses chez la femme.

Ces adipocytes se remplissent par l'intermédiaire de l'insuline, qui assure la fonction de stockage, et se vident sous l'influence de l'adrenaline, qui utilisent ces graisses de réserve comme carburant nécessaire au fonctionnement des muscles.

Quand vous présentez une surcharge pondérale, cela signifie que le déroulement de cette chaîne "adrénaline" est bloquée, et que les graisses ne sont pas suffisamment évacuées des adipocytes.

Quelle est l'action possible des plantes ?

pour profiter au maximum de l'action favorable de l'adrenaline sur la libération des corps gras à partir de l'adipocyte, nous vous conseillons deux groupes de plantes, dont les actions sont complémentaires.

Grace à Cupaline et à Camiline, vous allez augmenter la production d'adrénaline, tout en allongeant sa durée d'action.
En effet, ces deux plantes en stimulent la sécrétion, par la cafeine qu'elles contiennent, tout en inhibant en grande partie  l'action de l'enzyme destructeur, d'où une action plus prolongée et plus intense de l'adrénaline.

L'Exosuline contient dans sa composition plusieurs composés dont la structure chimique se rapproche de celle de l'adrénaline, le plus connu étant l'éphédrine, qui agissent de la même maniere sur les graisses, mais plus progressivement et plus durablement et qui ont en plus un rôle de coupe-faim.

L'association de ces plantes vous permettra donc de relancer le mécanisme de libération des graisses qui seront brulées dans vos muscles, sans efforts particuliers, ce qui vous assurera une diminution de votre surcharge pondérale.
Le régime hypocalorique est necéssaire, en association avec les gélules de plantes, pour vous eviter de reconstituer les réserves ainsi libérées.

pourquoi manques-t-on de Silice ?

Les apports en Silice sont assurés par l'eau, et par de nombreux légumes et fruits ( elle est surtout concentrée dans les pelures, et les téguments des céréales ).

Comme l'eau peut-être notablement carencé, en pays calcaire par exemple, et que l'alimentation moderne à base de pain blanc, de légumes décortiqués et de fruits pelés ne couvre plus les besoins, il existe donc des carences.

Que faire ?


Heureusement, la phytothérapie permet de remédier à ce manque : de nombreuses plantes riches en silice sont disponibles pour nous apporter cet "élement qui nous veut du bien".
Citons par exemple : la Prêle, le Bamboosil, et l'Alfalfa.

La prise régulière de ces plantes permettra donc de restaurer l'élasticité des tissus, de limiter l'évolution des rhumatismes et de prévenir l'apparition des complications de l'athérosclérose.

samedi 23 mars 2013

Silice et atherosclerose

Pour ce qui est du rôle de la Silice dans l'athérosclérose, les chercheurs ont été intrigué par une étude réalisé en Finlande, sur une période de 25 ans.

Il s'est avéré que la mortalité par maladie coronarienne ( angine de poitrine et infarctus ) des habitants de l'Est de la Finlande était le double de celle des Finlandais de l'Ouest.

Des études très poussées ont permis de découvrir que le seul facteur significativement différent entre les deux populations était la concentration de l'eau en silice, très basse à l'Est ( où la mortalité est élevée ) et normale à l'Ouest ( où la mortalité est faible ). La Silice joue donc là aussi un rôle prépondérant dans la prévention des maladies vasculaires, en rétablissant l'élasticité de la paroi artérielle, indispensable pour amortir les variations de la pression sanguine.

vendredi 22 mars 2013

Silice et rhumatismes

La silice permet de mieux fixer le calcium sur l'os, et améliore la trame du collagène, qui assure la souplesse des tissus.

Il est établi que dans les déminéralisations, les pertes en silice sont plus précoces que les pertes en calcium au niveau de l'os.
La Silice est de plus, un élément de structure, dont dépend l'élasticité des tissus; dès que son taux diminue, la teneur en calcium des tissus conjonctifs augment, et leur élasticité diminue.
Par ailleurs, la silice accélère la consolidation des fractures, probablement grâce à ce rôle de fixateur du calcium.

jeudi 21 mars 2013

La silice, minéral oublié

La silice est un élément minéral tres répandu sur la terre, le deuxième apres le carbone.

Longtemps, son rôle dans la pathologie humaine a été négligé, mais à la lumiere de faits expérimentaux  les chercheurs ont été amenés à s'interroger sur son rôle exact.

Il s'avere en effet que la silice est l'un des composants les plus importants des tissus conjonctifs, qui comprennent à la fois les cartilages, les tendons des articulations, et les éléments de la paroi des artères.

Les recherches ont donc porté sur les maladies rhumatismales ( arthrose ) et sur les maladies artérielles ( athérosclérose ).

mardi 19 mars 2013

Comment fonctionne une thérapie ?

On a démontré à plusieurs reprises, que des composants isolés avaient peu ou pas d'action.
En phytothérapie il est essentiel de profiter de la totalité des principes actifs de la plante qui peuvent ainsi agir en synergie, c'est a dire ensemble.

Le professeur PELT a d'ailleurs écrit : "Le tout est plus que la somme des parties"
Seule la totalité de la plante, "le Totum", respecte ce principe de synergie car il restitue l'ensemble des constituants.

Les extraits aqueux ( infusions ) ou alcooliques ne restituent que des fractions hydro ou alcoolosolubles. De nos jours il est facile, pratique et efficace d'absorber les plantes sous forme de gélule de poudre totale.

Médecines de toujours, médecines naturelles, médecines de terrain, le thermalisme et la phytothérapie agissent dans le même sens et dans le même esprit. Parfaitement complémentaires, ils peuvent se relayer pour conjuguer leurs effets thérapeutiques. La cure thermale, nécessairement limitée dans le temps, se trouvera efficacement et facilement relayée, à domicile, par la phytothérapie.

lundi 11 mars 2013

Thermalisme et phytothérapie

Un parallele entre le thermalisme et la phytothérapie démontre l'abondance de points communs entre ces deux thérapeutiques.

Thermalisme et phytothérapie : Un Bel exemple de complémentarité dans les médecines naturelles

Leur histoire tout d'abord: elle est millénaire.
Savez vous que l'archéologie a mis à jour des receuils de phytothérapie vieux de 4000 ans ?

L'image du thermalisme est marquée par les vestiges des sources thermales Gréco-romaines, mais il existait déjà bien avant cette époque. Pendant des milliers d'années, les plantes et les eaux thermales ont été les seuls moyens thérapeutiques dont disposaient les hommes. Puis au début du 20eme siècle, thermalisme et phytothérapie ont été quelque peu occultés par l'apparition de la chimie de synthèse à qui on prêtait un pouvoir universel et sans failles pour le traitement des maladies.

Le thermalisme a connu un regain de faveur apres 1945. le renouveau du traitement par les plantes est plus récent. Le corps médical connait un intérêt croissant pour cette médecine ancienne et les travaux modernes commencent a confirmer et à expliciter l'action thérapeutique des simples, en laissant entrevoir un domaine d'application jusqu'alors insoupçonné.

Mais le parrallèle ne s'arrête pas là


L'eau thermale est une eau naturelle qui, en traversant les différentes strates du sol, s'est chargée en minéraux. Chaque source est alors unique et aucun chimiste n'a pu la reconstituer artificiellement.

La plante quant à elle, puise du sous sol, par les racines, les sels minéraux indispensables à son développement. Elle synthétise alors une infinie variété de composants. Chacune de ces plantes est unique et inimitable. La richesse minérale des eaux thermales et des plantes est incomparable; selon les sources et selon les plantes, on trouve un large échantillonnage des oligo-éléments et minéraux essentiels à l'organisme humain : silice, potassium, chrome, sélénium, zinc, calcium, phosphore, magnésium, iode, manganèse ...

Même historique, même richesse, les plantes et la medecine thermale ont également un même champ d'action thérapeutique : elles agissent sur le terrain autant que sur la maladie. Les effets de la sure thermale ne sont pas, le plus souvent, immédiats mais se font ressentir pendant de long mois.
De la même façon, les plantes ont une action thérapeutique progressive et en profondeur, traitant le "pourquoi" du mal aussi bien que son "comment", c'est à dire la forme qu'il prend pour se manifester.

vendredi 8 mars 2013

Peut-on arrêter un traitement allopathique ?

La question semble logique, mais la réponse est directe et sans ambiguité !

Peut-on arrêter un traitement allopathique, donc prescrit par un médecin allopathe, quand on commence à se soigner par les plantes ?

Clairement, NON!

Même si le traitement par les plantes semble efficace, il ne faut jamais interrompre de son propre chef un traitement prescrit par un Médecin allopathe, il s'agit d'un professionnel de la santé. Lui seul vous indiquera les possibilités de compléments entres solutions classiques, Homéopathiques ou Phyto-Thérapeutiques !
En effet, la phytothérapie est souvent un excellent complément thérapeutique, elle est compatible avec beaucoups d'autres traitements.

Dois-je absolument en parler à mon medecin habituel ?

OUI !
Bien que souvent il s'agit d'un excellent complément. Certains traitements par les plantes peuvent devenir contre productifs voir même néfastes dans le cas d'un traitement allopathique en parallèle.

mardi 5 mars 2013

au bout de combien de temps ressent on les effets ?

Il est difficile de faire des estimations.
En fait beaucoups de facteurs entrent en ligne de compte :

  • L'ancienneté de la maladie
  • son intensité
  • la réceptivité personnelle du malade en fonction des plantes
  • ....
En phytothérapie comme en Allopathie, il n'y a pas de remède universel, une plante pouvant convenir à une personne et pas forcément à une autre. Certaines personnes ne tolèrent pas certains composants, d'autres en sont allergiques...

Cela dépend également du type de maladie. Une constipation se traite plus rapidement qu'une déminéralisation.
La durée des traitements proposées pour les maladies, ne sont que purement indicatives et pourront êtres adapté selon les cas.

samedi 2 mars 2013

quels sont les avantages de la phytothérapie ?

La phytothérapie est une medecine douce : cela ne signifie pas qu'elle soit lente.
Un rhume se guérit très bien avec des plantes.

On dit médecine douce car dépourvue d'effets secondaires aux doses normales et habituellement conseillées;
Médecine douce car elle traite l'origine du mal et non pas sa seule manifestation.
Elle agit en stimulant les défenses de l'organisme plutôt qu'en se substituant à elles, c'est pourquoi l'on dit que la phytothérapie soigne d'avantage en profondeur.

Son action préventive est également très importante.

Quels est l'origine de la phytothérapie ?

Depuis des millénaires, au fil des générations, les hommes du monde entier ont testé et sélectionnée les meilleures plantes médicinales pour lutter toujours plus efficacement contre leurs maladies.

Aujourd'hui nous bénéficions donc de cette expérience, vieille souvent de plusieurs siècles. Aucun médicament chimiques ne bénéficie d'un aussi long recul. Mais la tradition ne justifie pas à elle seule, la valeur de cette thérapeutique.

Ces dernières années la science a pris le relais de l'empirisme et a pu analyser les principes actifs des plantes, prouver leur efficacité, parfois comprendre leurs mode d'action.
C'est pourquoi, loin d'être un ensemble de "remède de bonne-femme" la phytothérapie représente aujourd'hui une "autre" façon de se soigner d'autant plus appréciée que les malades perçoivent les limites et les inconvénients de ces médicaments classiques.